Mon année sportive 2018 : le bilan plaisir
Le sport ce n’est pas se faire du mal, bien au contraire, c’est surtout se faire plaisir, et c’est d’ailleurs le critère le plus important.
Alors pour 2018, c’est assez clair : Quel kif !!!!
Cette année, j’ai vraiment sélectionné les meilleurs ingrédients pour constituer le plus réussi des cocktails.
1/ Paysages et cadres merveilleux
Voici un critère qui me tient à cœur : souffrir oui mais souffrir dans des lieux remarquables sur le plan esthétique.
Cyclo-sportive dans le massif du Mont Blanc pour commencer avec le Time Megève. Un passage au barrage du Roselend que je garde en mémoire, avec vue extraordinaire sur les montagnes environnantes.
Comment ne pas encourager ceux qui ne l’ont jamais fait à s’inscrire sur cette épreuve ?
Ensuite, un WE de folie partagé avec ma Ninnie au début de l’été : paysages encastrés et sauvages des Gorges de l’Ardèche et retour dans les Alpes pour l’Etape du tour avec ce passage surréaliste en haut du Plateau des Glières, haut lieu de la résistance.
En fin de saison, le charme des calanques de Cassis.
Et encore, le lac d’Aix-les-Bains, les montagnes Ardéchoises, un régal pour les yeux !
2/ Météo 2018 : ultra favorable pour la pratique du sport
Hormis le semi-marathon du Beaujolais logiquement dans la grisaille pour un mois de Novembre et le triathlon de la Madeleine fin Août où le temps n’était pas non plus de la partie, je dois dire que ce fût une année au top niveau météo !
Et quand le temps est de la partie, c’est déjà un bout du contrat rempli !
Je me souviendrai de la cocotte minute façon triathlon des Gorges de l’Ardèche. Là, il est vrai que l’on frôlait l’excès.
3/ Les épreuves
Je ne regrette vraiment pas ma sélection. Beaucoup de nouveautés (Gorges de l’Ardèche, cols des Alpes inconnus, Calanques de Cassis) et que de belles découvertes.
Il faut dire que, associatifs ou privés, ces rendez-vous sont le plus souvent exemplaires sur le plan de l’organisation.
Avec en plus à chaque fois le plaisir de rapporter un petit goodies, objet ou vêtement souvenir qui vous permet de vous remémorer ces bons moments.
Il me reste à participer au triathlon de Gerardmer qui semble très prisé et plébiscité dans la communauté des triathlètes (inscriptions complètes en 2h cette année). Raté en 2019, il semblerait que des jumelles passent la barre des 40 ans le WE de l’épreuve.
Je reporte donc à 2020, pour les JO de Tokyo, ça sentira peut-être le vrai jubilé, celui que j’annonce depuis tant d’années :-).
4/ Du mythe et encore du mythe
Oui, le nom du blog y fait allusion, faire des épreuves c’est bien, mais pas n’importe lesquelles et n’importe où, nous on veut du mythique !
Encore quelques grands noms cette année : col de la Madeleine, Plateau des Glières, col de la Croix Fry, lacets de Montvernier, col de Romme, on a accroché du HC au palmarès et on a mangé du pourcentage !
Les stats ce sera pour le bilan sportif, mais côté plaisir et émotions j’ai été servi.
Certes il a manqué des très grands noms (Ventoux, Alpe d’Huez, Galibier, Tourmalet) mais il faut bien diversifier, pas toujours les mêmes !
5/ La diversité
C’est bien de pouvoir jongler. Cyclo-sportive, triathlon courte ou longue distance, trail, course nature, semi-marathon, en individuel, accompagné de Ninnie, en touriste, en compétiteur. J’ai mêlé un peu toutes les ambiances pour une saison bien pleine.
6/ De vrais défis !
Le plaisir vient également dans le défi. S’inscrire sur des épreuves redoutées, dont on ignore notre capacité à en venir à bout, apporte son lot de stress, d’adrénaline, d’excitation. Et à la fin, un immense plaisir de pouvoir dire : je l’ai fait !
Le plus humble des combats : le combat contre soi-même et la volonté de repousser un peu plus les limites, sans pour autant tomber dans la tendance actuelle de l’extrême, du toujours plus.
Conclusion
En conclusion, un contrat plaisir rempli à 200%, riche en émotions, en contemplation et en émerveillement.
Waouh, quel pied !
A très vite pour le bilan sportif de l’année 2018